mardi 20 août 2013

Rame Rame Rameur Ramez

Ce matin éveil musculaire dans Central Park









puis visite du plus grand magasin de jouet FAO Schwartz


Pour l'après midi, un peu de culture avec le MOMA









puis balade, faut user les chaussures, on a acheté plein de paires !!






Une petite pensée pour Béatrice qui nous suit, viens ouvrir une succursale pour tes tatouages à NY, ils sont tous dingues de tatous. On essaie de prendre des photos !

6 commentaires:

  1. y a que sophie qui rame pas faut dire que le reste de l annee...

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    1. c est tres bon ca tu vois que t es rigolo quand tu veux !!

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  2. et moi je vous suis pas peut-etre? rappelle toi le petit animal en fourrure (me suis quand meme fais la bande maillot)

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  3. Je sais que t es accroc depuis que je t ai dit que jte ramenais une belle americaine

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  4. je veux surtout gagner le cadeau de celui qui a le plus commenter c est écrit dans le réglement du jeu.

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  5. OOF
    In this piece, Ruscha cleverly takes a nonsense word—“oof”—and makes it communicate on a number of different levels. He plays with both the onomatopoeic quality of the word as well as its visual impact. “Oof” is the kind of word we associate with characters in a comic strip, who might utter the guttural sound while engaging in some kind of physical exertion or in reaction to, say, a punch in the stomach. Despite its connotations of physicality, however, “oof” is executed by Ruscha in plain, simple, entirely dispassionate block letters. As a result of this lettering, the word comes across as a product logo that might appear on a billboard, demanding the viewers’ attention. The irony, of course, is that there is no tangible product behind the sign. Ruscha has taken a lowbrow idea from popular culture and formalized it in an iconic six-foot-tall oil painting that takes delight in exploring the meaning of words and the boundaries of art


    tain mais c est ouf.
    comme l a dit le poete goebbels (qui aimait bien faire un petit feu de temps en temps avec madame) "quand j entend le mot culture je sors mon revolver"

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